Tristan Fortin-Lebreton profite d’un séjour en résidence à VU pour imprimer des photos argentiques, surtout grand format, pour ensuite les soumettre à différents traitements physiques et chimiques. Intervenant sur les images avec des matières comme le sang de cochon, le charbon et la poudre à canon, il cherche à faire survenir l’accident, l’improbable et la surprise, qui viennent s’inscrire dans la signification de ses images. Toute cette démarche d’altération des œuvres produites sera documentée photographiquement et intégrée à un projet en cours de réalisation, la production d’un photoroman.